Odile Guinnepain, infirmière, appelle à venir marcher pour la vie le 20 janvier à Paris : « La clause de conscience est vitale (…) Si elle venait à être supprimée par l’État, ce serait une décision dictatoriale. »
« Le principal reproche qui est fait aux « objecteurs de conscience », c’est qu’ils « laisseraient aux autres le sale boulot », lorsqu’ils refusent de commettre ou de participer à certains actes contre la vie : IVG, IMG, pilule du lendemain, sédation terminale euthanasique… C’est la revendication majeure des soignants face aux objecteurs de conscience. Comme quoi, dans les faits, tout le monde est d’accord pour dire que donner la mort alors qu’on a choisi de soigner, est un « sale boulot » pour tous…»
Odile Guinnepain est infirmière et responsable de l’antenne « Nos mains ne tueront pas » de l’association Choisir la Vie , co-organisatrice de la Marche pour la vie
RDV le dimanche 20 janvier à Paris !
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