Published On: 1 juillet 2020Categories: Communiqués

 

La Marche pour la vie s’alarme des dispositions contenues dans le projet de loi de bioéthique actuellement débattu au parlement.

Certaines propositions, en passe d’être adoptées, sont alarmantes :

 

  • Le diagnostic pré-implantatoire des aneuploïdies (DPI-A) accélère la voie de l’eugénisme de laboratoire. Il va permettre de détruire les embryons porteurs d’une anomalie chromosomique.
  • La création d’embryons transgéniques et chimériques et l’intégration de cellules humaines dans l’embryon animal, qui va permettre la modification du génome humain.
  • L’allongement de la durée de culture des embryons in vitro, qui ouvre la voie à la culture d’êtres humains en laboratoire. Demain l’utérus artificiel ?
  • La suppression du délai de réflexion de huit jours avant une interruption de grossesse dite « médicale » (IMG), qui permet d’avorter un enfant imparfait jusqu’à la veille de la naissance. Désormais il n’y a même plus besoin d’y réfléchir. L’acte sera quasi-mécanique.

 

Les promoteurs de cette loi de bioéthique transforment l’être humain en objet manipulable, marchant et jetable. Alors que l’engouement semble général pour les questions de protection de la planète, qui protège encore l’être humain ?

 

La Marche pour la vie, épicentre de la défense de la vie humaine en France, rejoint la mobilisation de toutes les personnalités, associations et collectifs qui s’opposent au projet de loi de bioéthique : la Fondation Jérôme Lejeune, Philippe de Villiers, Marchons Enfants !, Le PCD, La Manif Pour Tous, Alliance Vita, l’archevêque de Paris, Monseigneur Aupetit, le Comité protestant évangélique pour la dignité humaine (CPDH),…   

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